Concrete Waves

Le week-end du 16 juin, c’est à Biarritz qu’avec le Darwin Custom nous sommes descendus pour deux jours et deux nuits frénétiques. Les casetas pour se mettre en jambe vendredi soir. Réveil, pas de vagues mais une petite barre dans la tête. La région ne manque pas de skateparks et depuis quelques temps déjà l’idée de rider un « snake » nous faisait saliver. Utilisation du nouveau meilleur ami de l’Homme, maps.

Well, there is more concrete in the world than good surf breaks

Direction Tarnos. Le park vide nous attends sous l’ombre des pins. Dès le premier regard le snake promet une session qui ne nous fera pas regretter d’avoir choisi le béton plutôt que l’océan. La pente est douce, façon mini-pipe. Les possibilités sont nombreuses, entre carving en bantam, airs en planche de street, course de fond pour monsieur Barroso qui a trouvé la ligne permettant de remonter sans toucher terre – record à battre : 10 tours -.

Après quatre heures de ride et 15 litres de transpiration, direction la Beach House à la chambre d’amour pour nous auto-congratuler d’avoir passé une si bonne après midi. Pour l’anecdote, la Beach House c’est ça, et on salut Juan qui fait parti de l’équipe très sympathique de serveurs et serveuses.

La raison originelle de ce week-end était le Wheels and Waves, qui concentrait les prépas motos dont nous nous inspirons tous les jours au Darwin Custom.

En attendant, plus de photos dans la section portfolio du site.